Les journées du Patrimoine

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  Architecture du XXème siècle  

Cet itinéraire vous invite à découvrir quelques exemples de l'architecture XXe siècle à travers les territoires creusotin et montcellien. Il vous propose une sélection de quartiers, maisons, immeubles et bâtiments industriels bâtis entre 1901 et 1998. Nous espérons que cette balade vous permettra de découvrir une infime partie de ce patrimoine dont la richesse est souvent méconnue.
L'Académie François Bourdon, l'Ecomusée du Creusot-Montceau, la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Bourgogne (service de l'Inventaire) et l'Association PiloNet se sont associés pour réaliser cet itinéraire. Pour en savoir plus, n'hésitez pas à contacter leurs centres de documention ou les sites Internet 
www.afbourdon .com  et  www.creusot.net

Photographies : Académie François Bourdon, Ecomusée du Creusot-Montceau et Inventaire général

creusotcentre.jpg (25851 octets)

1. Château de
    la Verrerie

Château de la Verrerie

2. LARC Scène
Nationale

LARC Scène Nationale
     3. L'usine
          SNECMA
Plaine des Riaux, l'usine SNECMA
Journées du Patrimoine

Le Château de la Verrerie 1, ancienne cristallerie (1785) puis résidence des Schneider, il a été remanié (1903-1912) par l'architecte E. Sanson et le décorateur A. Felz dans un style néoclassique. Du château, descendre par l'avenue Leclerc et prendre rue de la Chaise (1ère à droite).
rue Jules Guesdes et "la Grimpette"Quartier du Guide
2 : Reconstruit au début du XXème siècle, ce quartier est le centre administratif du Creusot. Au n°17 de la rue de la Chaise, se dressent les Galeries ouvrières (1908) de M. POULY, auteur notamment de l'Hôtel Terminus (n°1, avenue Maréchal Foch au Creusot). Poursuivre la rue jusqu'au bout et tourner à gauche rue Clémenceau, à droite se trouve le bâtiment de la Direction (construit en 1910 par les Ets Schneider) qui domine le boulevard H.-P. Schneider. Tourner à gaucheEcole du Boulevard et prendre ce boulevard jusqu'au feu. Reprendre à droite l'avenue Leclerc et tourner devant la Poste, à droite, rue J. Bouveri. A gauche se trouve L.A.R.C.-Scène Nationale de MM. Laprade, Douche et Roche (1964-1967). A droite se dresse l'Ecole du Boulevard (construite en 1909 par les Ets Schneider), puis l'Hôtel de ville (construit en 1901 suivant les plans de L. Legrand et financé par les Ets Schneider).
Après l'Hôtel de ville tourner deux fois à gauche, traverser le pont (à droite se trouve l'Alto, transition vers l'architecture du XXIème siècle), puis au rond-point prendre à gauche en direction de la gare SNCF.
La plaine des Riaux
3 : Ancien cœur industriel du Creusot, elle est traversée par l'Avenue de l'Europe. A droite on trouve l'usine de la SNECMA (1985-1987), en structure haubanée pylônes et poutres métalliques de A. Constantin. Lui fait face, la CARBEXBibliothèque Universitaire, ancienne halle industrielle inscrite aux Monuments Historiques, remaniée en 1998 par l'architecte P. Colboc. Plus loin, à gauche la Cité Universitaire (1993-architectes L. Ducerf et Y. Luline) surplombe les Riaux. En quittant la plaine, à droite l'Usine Carbex, occupe les anciens bâtiments de la station électrique des Ets Schneider (1911).
Quitter la plaine des Riaux, reprendre l'avenue Leclerc. Après LARC tourner à droite rue Clémenceau. Au rond-point descendre la rue de l'Etang de la Forge. Au 2ème feu, continuer en face, rue B. Marcet.Ecole Schneider, Porte Magenta Le première rue à gauche conduit à l'entrée du site industriel. Là, se trouve le laboratoire de FRAMATOME
4, ancienne école professionnelle des Ets Schneider (1917). Poursuivre la rue jusqu'au feu, tourner à gauche, au feu suivant continuer tout droit dans le quartier de la Mouillelongue. La cité ouvrière de la Mouillelongue 5 est construite sur le modèle des cités jardins (1919). Composée de cité Françoise Schneider188 logements répartis en 4 types, c'est la première cité entièrement en béton armé des Ets Schneider. En prenant à gauche, rue des Perrières, on entre dans la cité Françoise Schneider 6 (1945). Issue du programme de reconstruction de l'après-guerre, elle est composée de 92 logements répartis en 2 types. Au bout de la rue, de l'autre côté de l'avenue se dresse la chapelle de Notre Dame du Travail 7, inaugurée le 1er mai 1958.

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